Non, en dépit des apparences, ''Le Canard'' ne vient pas barboter sur le net. Ce n'est pas faute d'y avoir été invité
par des opérateurs plus ou moins bien intentionnés, et parfois par des lecteurs qui aimeraient bien lire en ligne leur hebdomadaire préféré. Et surtout, par les
canetons expatriés, qui ne reçoivent parfois leur journal, à l'autre bout du monde, que plusieurs jours après la parution.
Mais notre métier, c'est d'informer et dedistraire nos
lecteurs, avec du papier journal et de l'encre. C'est un beau métier qui suffit à occuper notre équipe.
Ce site officiel du ''Canard'' se limite donc,
pour l'heure, à donner quelques informations pratiques, et aussi à occuper les adresses que des escrocs ont parfois tenté de détourner, en se faisant passer pour
nous.
Petit à petit, nous nous efforcerons d'enrichir
le contenu, avec une rubrique historique, et, peut-être, un accès aux archives.
Les dossiers du Canard '' SARKO, JE TE VOIS ! '',
SARKO, JE TE VOIS !Pour ce bon mot lancé à
des flics, un malheureux enseignant avait frisé la prison.
Or, on le sait, le même Sarko s'emploie beaucoup, à son tour, à nous voir, à nous contrôler, à tout contrôler. Au diapason d'une société de surveillance, où caméras, Internet et
téléphones portables servent autant à fliquer et à espionner qu'à communiquer et échanger. De nouveaux fichiers de police aux nanotechnologies, de la vidéosurveillance au vol d'images sur
Internet, des portables qui nous pistent à nos ordinateurs qui gardent en mémoire ce que nous croyons en effacer, ce nouveau numéro des Dossiers du 'Canard' a mené l'enquête sur
cette surveillance sécuritaire ou commerciale qui empiète chaque jour un peu plus sur nos libertés et fera bientôt appartenir au passé la notion d'intimité.