Avec Sarkozy travailler plus pour se soigner moins

L'homme aux 500 milliards de dette est rentré en campagne ! A quoi voit-on que Sarkozy est en campagne ? C'est très simple, il lance aux hyènes une victime expiatoire !

Merci à Tropical Boy

Les populistes sans complexe ne reculent devant rien. Même pas ce qui est infâme et grotesque. La preuve, la clique de Sarkozy vient encore un peu plus de s'aplatir devant les financiers. Dans le rôle des paillassons et sous vos applaudissements acclamez les derniers vestiges du Sarkozysme.

Merci à The Blog Corp

Après avoir créé un nombre de taxes considérable (Des taxes, des Taxes oui mais des Sarkozy !), jeté l'anathème sur toute sorte de pauvres qui ne le sont pas assez et devraient cracher au bassinet jusqu'à s'y noyer, voilà qu'ils ont inventé la taxe sur les malades !

Merci à Erby

Oui c'est possible ! Vous prenez un malade, juste ce qu'il faut, et vous le faites payer parce qu'il est malade. Créatif non ? Pour aller chercher du fric dans les poches de ceux qui n'ont pas choisi de gerber pour cause de gastro ou de cracher leurs poumons pour cause de cancer hebdomadaire, ils sont les champions.

Merci àBar

Dans le privé, 4 jours de carence vont être appliqués. Soit presque une semaine de salaire. Salauds de malades du privé, vous ruinez l'entreprise et la France. Et même tout le système financier !

Dans le public les fonctionnaires vont avoir une journée de carence. Parce que les fonctionnaires, qu'est ce que c'est comme petite nature contrariée. Ca tombe malade toujours plus que les autres. Bande de feignasses, vous perdrez une journée de salaire !

Merci à Million

A ce rythme on va faire payer les morts parce qu'il ne fallait pas mourrir. On vous fera payer votre caca au poids car il n'est pas normal d'aller chier. Et pour ceux qui voudraient continuer à respirer gratuitement, faut pas non plus abuser, ces chers têtes de noeuds de l'UMP vont vous trouver un truc à payer.

Le Sarkozysme c'est bien le cynisme poussé à son paroxysme et la médiocrité érigée en religion. Les électeurs qui l'ont permis le regrettent sans doute aujourd'hui. Pourquoi on les taxerait pas eux, maintenant, ces (gros) cons ?

sarkostique