INTEGRAL PRECONISE UNE LOI…MAIS VA T’ELLE FAIRE ENVELEVER LA NIQUAD DE LA POLITIQUE SOCIALE DE SARKO ?
Voilà, c’est fait, la mission parlementaire vient de rendre ses conclusions. Elles sont évidemment sans surprise. Une loi, encore une, devra voir le jour pour interdire le port du voile intégral !
Cette loi portera non seulement sur le fait de retirer son voile dans les services publics mais également dans les transports en commun.
Résolument opposé au port du voile intégral mais divisé sur les moyens à mettre en œuvre, le PS a boycotté le vote de ce rapport pour protester contre un débat "pollué par celui sur l'identité nationale". Plusieurs membres PS de la mission étaient toutefois présents pendant le scrutin.
Mais franchement, le PS et les autres formations de gauche n’auraient ils pas du simplement dire stop dés le début de la polémique ? Une loi existe déjà sur les signes ostentatoires, pourquoi ne pas avoir tout simplement renvoyé dans les cordes Nimbus 1er et sa soif de reconnaissance extrémiste. Une simple phrase rappelant cette loi et c’est 2 mois de débat inutile qui se seraient envolés et fait mal à Sarko.
Bien sur que le PS devait réagir sur cette loi et rappeler son opposition au port du voile intégral et ses pratiques dégradantes pour les femmes, mais
en puisant de l’insondable vivier de loi faite sur mesure par Sarko, il aurait gagné en crédibilité et ainsi mis Nimbus 1er devant ses responsabilités et ses
contradictions.
Mais voilà, il n’y a pas que le Conseil d’Etat qui peut polluer la vie de Sarko, la Cour Européenne des Droits de l’Homme pourrait également condamner la France et cela sonnerait comme une défaite de la République", affirme le rapport
Concrètement, le texte de loi "contraindrait les personnes non seulement à montrer leur visage à l'entrée du service public mais aussi à conserver le visage découvert". En cas d'infraction, les femmes concernées ne pourraient percevoir les prestations souhaitées.
Avant même la publication du rapport, le Bouffon Copé a fait savoir qu'il entendait faire voter une loi d'interdiction totale. Mais si l'Assemblée national s'engageait, au final, sur cette voie, il faudrait au préalable "recueillir l'avis du Conseil d'Etat" pour s'assurer de son caractère constitutionnel, prévient la mission parlementaire.
Le blog de Popote67